Un appel au clergé à se repentir
à ceux qui refusent aux croyants leur droit d’obéir au Seigneur Jésus

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Une Structure qui frustre la grâce de Dieu

Une structure qui libère la grâce de Dieu

Martin Luther a affiché une liste de 95 points de discussion sur la porte de l’église de Wittenberg, pour une ville choquée à les lire, déclenchant la réforme protestante qui a transformé une civilisation. Le but de Luther était d’éliminer les obstacles à la libre circulation de la grâce de Dieu, se servant de l’Écriture et de la foi pour ouvrir les vannes du ciel. Cinq siècles plus tard, de nombreux pasteurs et dirigeants confessionnels, surtout dans les églises anciennes, en mettant en premier les politiques artificielles d’églises, ne parviennent pas à laisser le peuple de Dieu obéir à tous les commandements de Jésus.

Un clergé qui frustre la grâce de Dieu

Ainsi, ces dirigeants interdisent à des milliers de nouvelles églises et de cellules, de par le monde entier, la joie de baptiser ou de célébrer la Sainte-Cène. Ils font ceci, parce que, dans les nouveaux troupeaux, personne n’a été ordonné pasteur, même si quelqu’un, dans la plupart des troupeaux, réunit toutes les conditions bibliques à paître le peuple de Dieu.

Ceux d’entre nous qui servent en mentor à des implanteurs d’églises, dans diverses cultures, devons faire constamment face à ce blocage à la grâce de Dieu. Parmi le clergé pieux et gracieux, se trouve une élite égoïste, jalouse de son monopole du pouvoir de dispenser la grâce de Dieu au moyen des sacrements. Ces membres du clergé forcent les églises de leur compétence, à désobéir à notre Seigneur Jésus-Christ, décourageant ainsi des milliers de dirigeants laïcs pieux qui satisfont aux réquisits pour diriger donnés par Jésus et par ses apôtres. Faisons face à la question centrale : bloquer sciemment la libre circulation de la grâce de Dieu serait une forme d’incrédulité égoïste. Contestons ce clergé désobéissant !

L’ordination comme telle n’est pas à l’origine du problème. L’ordination a une base biblique : les anciens-pasteurs sont tenus à imposer la main sur de nouveaux pasteurs pour les commissionner. Le problème provient des églises qui décrètent des exigences générales pour l’ordination lesquelles ne proviennent pas du Nouveau Testament. À toute congrégation son droit d’imposer ses propres exigences ! Par exemple, une congrégation très instruite pourrait exiger que ses pasteurs détiennent certains diplômes.

Jésus a dit que lorsque deux ou trois croyants s’accordent pour lier quoi que ce soit sur la terre en son nom, son Père le tiendrait pour lié dans le ciel. Toutefois, cette liaison s’applique uniquement à cette congrégation. Ce que Dieu tient pour lié ne régit nullement une autre église qui se situe dans la même rue. Ignorer cette limitation a causé énormément de discorde et de misère amères.

Un clergé qui libère la grâce de Dieu

Les sages implanteurs d’églises ressemblent à un bon plombier, sachant déboucher les conduits pour laisser passer librement outre la grâce de Dieu. Le blocage à la grâce reste une question centrale, partout où les églises ne parviennent pas à se multiplier de façon normale selon le Nouveau Testament. Ceux d’entre nous qui ont vraiment cette question à cœur, agissons pour libérer ceux qui souffrent sous un nuage de contrôle ecclésial excessif.

C’est une vérité indéniable de base, évidente pour ceux qui regardent à ce qui se passe dans une grande partie de l’Asie, de l’Afrique et de l’Amérique Latine. Là-bas, même les nouveaux croyants apprennent qu’ils ont le pouvoir de lier les mauvais esprits et de se délivrer les uns les autres de la maladie et da la pauvreté ; et beaucoup le font, habilitant d’autres pauvres à faire de même. Cependant, les clercs d’église traditionalistes leur refusent souvent ce droit de lier et de délier, un petit nombre de privilégiés enlèvent aux pauvres leur libre accès au Trône du Ciel. Comme un résultat déplorable, le mouvement de l’implantation d’église de par le monde entier n’avère pas aussi rapidement contagieux que possible ! Nous les mentors nous pouvons aider à en retrouver le dynamisme en alertant le peuple de Dieu à cette question et en nous occupant du dépannage.

Refusant aux bergers pieux et à leurs troupeaux leur droit d’obéir à Christ reste incontestablement l’un des obstacles les plus préjudiciables aux mouvements envers le Christ. Si vous êtes coupable de ce faire, alors il n’y a qu’une seule solution pour vous : vous repentir !

Une Structure qui frustre la grâce de Dieu

En vue de libérer de nouveaux ouvriers pour multiplier les églises, de nombreux pasteurs doivent abandonner le modèle commun et restrictf de « toile d’araignée » pour adopter un modèle plus néotestamentaire. La toile d’araignée permet à un pasteur influent de démarrer des cellules ou des congrégations « satellites » et de mettre dans chacune d’elles un « assistant », conservant pour lui-même le droit exclusif de baptiser et servir la Cène du Seigneur. La reproduction s’arrête lorsqu’il devient trop occupé pour démarrer et servir davantage de groupes. Lorsqu’il meurt, les satellites s’effondrer. (Voir les articles MentorNet 16 et 43 sur d’autres moyens d’entraver la grâce de Dieu).

Bien des membres du clergé entravent l’écoulement de la grâce de Dieu, en créant et en conservant des privilèges cléricaux, ce qui a conduit à la stagnation du mouvement chrétien dans tous les pays. Ces dirigeants désobéissent, et forcent d’autres à désobéir, aux commandements de Jésus à baptiser et à célébrer la Communion. Ils le font en imposant d’artificielles règles non bibliques sur l’ordination des dirigeants d’église. En empêchant aux nouvelles églises d’obéir pleinement à Jésus, ces membres du clergé découragent ou écartent des milliers de pieux dirigeants de bonne volonté qui satisfont à toutes les exigences bibliques pour ceux que mènent le peuple de Dieu.

Une structure qui libère la grâce de Dieu

La façon normale, néotestamentaire de multiplier est de démarrer continuellement de nouvelles générations de dirigeants qui servent de nouvelles églises de nouveaux croyants, leur responsabilisant de laisser le peuple de Dieu obéir aux commandements de Jésus avant et au-dessus de toute politique artificielle d’église.

Dieu donne son Saint-Esprit à ceux qui lui obéissent (Actes 5:32). Lorsque le clergé et les dirigeants non clergé d’église obéissent librement aux commandements de Jésus, habilitant d’autres à faire de même, le Saint-Esprit ne faillit pas de sauver des âmes, fortifier des disciples, soulever de nouveaux dirigeants, démarrer de nouvelles églises, donner à comprendre la Bible, fournir des méthodes et matériels, atirer des cherchers réceptifs, animer des réunions d’églises et remplir de joie des croyants.

Nous qui en sont coupables, repentissons-nous ! Nous qui nous somme consacrés pour servir l’église du Christ, ce sont justement nous qui sommes le plus grand obstacle à la multiplication de cette église dans toutes les nations. Nous pouvons également nous en avérer son plus grand atout.

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